« Tout pays qui accepte de rester faible dans le monde est voué à l’échec », a affirmé le commandant en chef adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique d’Iran (CGRI).
Selon l’agence de presse Tasnim, le général Hossein Salami a participé ce mercredi 5 juillet à la cérémonie d’ouverture de la base aérienne de Seyyed-o-Shohada dans la province de Fars, dans le Sud-Ouest iranien.
Le commandant en chef adjoint du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général Hossein Salami, a affirmé que grâce à Dieu, la force terrestre du CGRI est devenue aujourd’hui le pilier solide sur lequel repose la sécurité nationale du pays face aux menaces étrangères et aux dangers intérieurs :
« Sans effort et dévouement, sans se lancer dans le Jihad Akbar [le plus grand Jihad], sans acquérir le pouvoir et l’étendre sur la terre, il est impossible d’affronter les ennemis rancuniers. Cette résistance, ce calme, cette sécurité, cette autorité et cette grandeur montrent qu’il y a des personnes dévouées qui se soucient du progrès et de la sécurité de toute une nation ; et c’est la nature même du CGRI et des forces armées. »
Le général Salami a fait aussi allusion au bilan impressionnant du Corps des gardiens de la Révolution islamique.
« Ce qu’ont réussi à faire les forces du CGRI à Qasr-e Qand [dans la province du Sistan-et-Baloutchistan], dans la province du Kurdistan et au Parlement iranien, vous ne le verrez nulle part au monde. Malgré toutes leurs fanfaronnades, les États-Unis n’osent pas faire intervenir directement leur armée de terre où que ce soit et restent donc marginalisés », a affirmé le général Salami, ajoutant qu’en ce qui concerne les évolutions essentielles sur le terrain, c’est la force terrestre qui dit le dernier mot.