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Syrie: Le Caire favorable à la création des zones de désescalade

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
(De gauche à droite) Le médiateur russe Alexandre Lavrentiev, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Jaberi Ansari, le ministre kazakh des Affaires étrangères Kairat Abdrakhmanov et l'envoyé spécial des Nations unies pour la Syrie Staffan de Mistura assistent à la signature du projet d'un accord sur la création des zones de désescalade en Syrie, le 4 mai 2017, à Astana. ©AFP

Bien que des commentaires ne cessent de souligner le "dégel" des relations entre l'Égypte et l'Arabie saoudite mais Le Caire semble maintenir le cap dans le dossier syrien. Le ministère égyptien des Affaires étrangères a réagi à la signature du projet de l’accord prévoyant la création en Syrie des zones de désescalade.

Le ministère égyptien des Affaires étrangères a rendu public, ce jeudi 4 mai, un communiqué pour saluer la signature, à Astana, du projet de l’accord sur la création des zones de désescalade dans les provinces d’Idlib et de Homs ainsi que dans la Ghouta orientale et le sud du pays.

« L’Égypte est favorable à tous les efforts destinés à consolider le cessez-le-feu à travers la Syrie et à mettre fin à des conflits et cela dans l’espoir que la situation humanitaire s’améliore de plus en plus », indique le texte.

Le ministère a souhaité que cet accord balise le terrain à la reprise immédiate des négociations de Genève.

« Le Caire est pour une solution diplomatique à la crise en Syrie, une solution qui respecte l’intégrité territoriale et l’indépendance de la Syrie et qui mette fin à la présence des groupes terroristes dans ce pays », ajoute le ministère.

L’avant-texte de l’accord sur la création en Syrie de quatre zones de désescalade a été signé, jeudi 4 mai, à Astana, capitale kazakhe.

Le document stipule que Moscou, Téhéran et Ankara s’engagent à créer un groupe de travail commun dans les cinq jours suivant la signature du document par les protagonistes.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV