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Astana : consultations de Téhéran avec ses alliés russe et syrien

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le premier tour des négociations d’Astana sur la crise syrienne, le 23 janvier 2017. ©AFP

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a rencontré le représentant permanent de la Syrie à l’ONU et l’émissaire spécial du président russe pour la Syrie.

Selon l’agence de presse iranienne Tasnim, les délégations d’experts iranienne et russe, présidées respectivement par le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Jaberi Ansari et l’envoyé spécial du président russe pour la Syrie Alexandre Lavrentiev, se sont entretenues hier, mardi 14 février, à Astana capitale du Kazakhstan.

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères Hossein Jaberi Ansari (D) rencontre l’envoyé spécial du président russe pour la Syrie Alexandre Lavrentiev, le 14 février 2017 à Astana. ©Tasnim

Jaberi Ansari et Lavrentiev ont discuté des derniers développements en Syrie, de la trêve en vigueur dans ce pays ainsi que de la première série de pourparlers à Astana, en janvier dernier.  

Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères a également rencontré le représentant permanent de la Syrie auprès de l’ONU, Bachar al-Jaafari.

Lors de cette rencontre à laquelle ont assisté les délégations des deux parties, les deux diplomates ont échangé leurs vues sur les dernières évolutions du processus des négociations d’Astana et l’agenda du deuxième tour de cette conférence internationale.

Ces discussions dans la capitale du Kazakhstan suivent un premier round de négociations le mois dernier qui s’était achevé sans avancée politique majeure pour résoudre la crise syrienne.

Des représentants du gouvernement syrien et des groupes armés y avaient négocié, mais les opposants armés avaient refusé de s’asseoir à la même table que les émissaires du gouvernement de Bachar al-Assad.

L’Iran, la Russie et la Turquie étaient toutefois convenus de la création d’un mécanisme de mise en œuvre et de surveillance de la trêve. Des experts des trois pays s’étaient ensuite réunis le 6 février pour évoquer les aspects techniques de leur accord.

 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV