En République démocratique du Congo, les sièges de partis d'opposition ont été incendiés au lendemain des violences politiques meurtrières survenues lors de rassemblements anti-Kabila.
Le ministre congolais de l'Intérieur Evariste Boshab a condamné toute sorte de violence et déclaré que son gouvernement ne reculerait pas devant les intimidations.
L'opposition a appelé à manifester pour exiger le départ du président Joseph Kabila au terme de son mandat, le 20 décembre.
Selon la Constitution, le mardi 20 septembre est la date limite pour inviter les électeurs aux urnes.
Les bilans humains des échauffourées de la veille varient selon les sources : 17 morts pour le pouvoir contre plus de 50 pour l’opposition.