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Ansarallah : le chemin qui mène au compromis passe à travers la participation politique

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Mohammed Abdessalam, le chef de la délégation d'Ansarallah. (Photo d'archives)

En marge des pourparlers de paix pour le Yémen, le chef de la délégation du mouvement Ansarallah a insisté sur le fait que la participation active à la vie politique était une question d'ordre national et était indispensable à tout compromis.

Mohammed Abdessalam, qui dirige la délégation yéménite dans le cadre des négociations de paix, a fait l’éloge de la participation à la vie politique lors d’un discours, dont voici un extrait :

"Participer à la vie politique sur des principes de bases et notamment sur le fond des résultats obtenus lors des discussions nationales est une question nationale et cela est indispensable pour pouvoir faire face aux défis."

Auparavant, Abdel Malak al-Mekhlafi, chef de la délégation du gouvernement du président démissionnaire yéménite, avait confié à Ismail Ould Cheikh Ahmed, émissaire de l'ONU pour le Yémen, lors d’une rencontre avec ce dernier :

"Avant toute discussion sur la participation politique, Ansarallah doit se transformer en un parti politique."

Mohammed Abdessalam a souligné :

"La vérité est que le cabinet du gouvernement démissionnaire est incapable de faire quoi que ce soit. Un mois et demi s'est écoulé depuis la création du comité des prisonniers et des détenus. Cette délégation s’est montrée incapable de faire une quelconque avancée dans ce sens et elle ne fait que rendre ce chemin épineux."

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SOURCE: FRENCH PRESS TV