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Le Comité pour la protection des journalistes condamne l’arrestation du journaliste d’AL-ALAM.

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Des personnes demandent libération des journalistes palestiniens injustement détenus dans les prisons israéliennes. ©Plateforme Charleroi-Palestine

Le « tribunal de paix » israélien de la ville de Nazareth a prolongé jusqu’à dimanche, la garde à vue de Bassam al-Safdi, le journaliste de la chaine satellitaire arabophone iranienne, Al-Alam pour motif d’«atteinte d’ordre sécuritaire », de « soutien à un groupe terroriste» et « d'incitation à la haine », soit des accusations parfaitement gratuites et creuses. 

 Un communiqué publié jeudi par le Comité pour la protection des journalistes, CPJ,  condamne cette décision et la déclare contraire aux normes et aux lois internationales.

Le CPJ appelle aussi tous les organismes œuvrant pour les droits des journalistes dont le Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) et Reporters sans frontières (RSF) à agir contre cette arrestation et à œuvrer pour la libération d’al-Safdi et de tous les autres journalistes détenus dans les prisons israéliennes.

Le Comité pour la protection des journalistes a fait noter qu’avec cette nouvelle arrestation, le nombre des journalistes détenus dans les prisons  israéliennes atteint désormais 20 personnes. 

Le régime israélien s'oppose catégoriquement à toute couverture médiatique des crimes qu'il commet contre les palestiniens et des violations dont il se rend coupable à l'encontre de ses voisins. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV