TV

Il faut de la patience pour la paix en Syrie

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov

Le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov a déclaré que les négociations de paix sur la Syrie à Genève ont toujours promis d'être longues et difficiles.

Selon l'agence TASS, Peskov a ajouté que l'impatience n'est pas de mise à ce stade des pourparlers sur l’avenir de la Syrie, pays ravagé par guerre.

« Personne ne s'attendait à des négociations faciles, » a-t-il dit. Les négociations de paix sur la Syrie ont commencé le 14 mars.

« Ce serait une erreur de ressentir déjà de l'impatience. Il faut de la patience, beaucoup de patience, de la part de toutes les parties, c'est évident », a déclaré Peskov.

Pour le porte-parole du Kremlin, la Russie a toujours cherché à fournir toute l'aide possible pour que les discussions inter-syriennes avancent avec succès. 

Les discussions, rendues possibles par une trêve entrée en vigueur le 27 février et plutôt respectée, visent à mettre un terme à un conflit qui a déjà fait plus de 270.000 morts et poussé des millions de personnes à l'exode.

Selon la feuille de route de l'ONU, elles doivent aboutir à la création dans six mois d'un "organe de transition", chargé d'élaborer une nouvelle Constitution et d'organiser des élections d'ici 18 mois. Mais les négociations progressent  lentement.

Partager Cet Article
SOURCE: FRENCH PRESS TV