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Le gouvernement d’Al Qualifât de Bahreïn prend de nouvelles mesures de sécurité contre les Chiites.

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le ministre saoudien des Affaires étrangères Adel al-Jubeir accueille son homologue bahreïni Khalid Bin Ahmad al-Khalifa et le Secrétaire général du Conseil de coopération du Golfe Persique (CCGP) Abdullatif bin Rashid Al-Zayani de Bahreïn à Riyad, le 9 Janvier 2016. ©Afp / AHMED Farwan

Les Chiites bahreïnis se voient soumis à des mesures privatives de liberté. 

D’après le communiqué du gouvernement du Cheikh Khalifa bin Salman Al Khalifa citant le centre médiatique Massaleh, le ministre bahreïni de l’intérieur, Rachid bin Abdullah Al khalifa, a accusé les habitants chiites de Bahreïn de traîtres lors une visite avec des personnalités politiques et parlementaires, et a prétendu que l’Iran serait à l’origine d’un extrémisme religieux naissant dans son pays.

Le ministre bahreïni de l’intérieur a informé de la constitution d’un comité supervisant les échanges d’argent, les aides bénévoles de personnes civiles ou morales, la mise en place de conditions juridiques pour le voyage des bahreinis de 14 à 18 ans et pour tout voyage dans une zone non-sécurisée.

Le ministre bahreïni a insisté sur la volonté ferme du régime du qualifiât saoudien de limiter les libertés religieuse en affirmant : « Les efforts pour politiser les pratiques religieuses chiites en en déterminant les jours, les heures et les responsables seront soumis à une surveillance sévère pour empêcher toute occasion de créer des conflits.»

Il a prétendu que l’Iran « soutient le terrorisme » et qu'il « se serait déjà servi de son influence à Bahreïn pour atteindre ses objectifs expansionnistes »

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SOURCE: FRENCH PRESS TV